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Transition écologique : Une histoire de temps

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Transition écologique et enjeux

L’écologie est la science qui étudie les interactions entre les êtres vivants et leur environnement. Autrement dit, entre nous et le merveilleux caillou perdu dans l’espace sur lequel nous vivons. Et force est de constater que nous interagissons beaucoup avec notre planète.

Parfois en bien, parfois en mal mais souvent dans notre intérêt immédiat sans jamais se soucier des conséquences sur l’avenir. Mais le monde et nos civilisations connaissent depuis quelques années de nombreuses remises en question. Pour de bonnes raisons ! Nous sommes à l’aube d’un changement de paradigme porté par le développement de nouvelles technologies comme : la 5G; l’Intelligence artificielle; la Big DATA; l’impression 3D ou encore les Smart Grid.

red and white alarm clock

GreenKit – Éveil des consciences

 

Mais cette 4ème révolution industrielle est différente de ses ainés. En plus des enjeux économiques, sociaux et technologiques, il est plus que vital de relever le défi de la préservation de nos environnements. Autrement dit lutter contre les dégâts causés par des années de développement technologique et économique (hyper croissance) basé sur des énergies fossiles et l’exploitation des ressources abiotiques.

Mais la vraie question dans tout ça c’est quelle sera notre place dans cette transition écologique ? Serons-nous moteurs d’un changement positif ou de simples spectateurs d’un désastre environnemental inévitable. Mais comme dirait Einstein :

« Si j’avais une heure pour résoudre un problème je prendrais 55 minutes à réfléchir au problème et 5 minutes à penser aux solutions. ».

Albert Einstein

Sur ses conseils avisés, je te propose de nous plonger dans l’histoire de l’écologie pour en comprendre tous les aspects avant de chercher des solutions.

Histoire de l’écologie : Des années 60 à nos jours

Un livre d'histoire et des lunettes anciennes, histoire de l'écologie et transition écologique

Greenkit – Histoire de l’écologie

 

Les années 60 marquent le début de la prise de conscience écologique en France. Lors de la Conférence de Rome en 1960, on s’interroge même sur l’impact de la croissance démographique et économique sur nos ressources naturelles.

Les prémices sont aussi caractérisées par la lutte contre le nucléaire. D’abord contre les essais nucléaires et l’armement nucléaire en général, puis contre le nucléaire civil dans les années 70. Beaucoup d’associations ont vu le jour durant cette période, et sont donc en grande partie antinucléaires.

C’est également durant cette décennie qu’auront lieux le plus grand nombre de catastrophes environnementales comme les marées noires. De quoi sensibiliser les populations. Et l’écologie politique se diffuse. Le 22 avril 1970 est le premier Earth Day, créé par le Sénateur américain Gaylord Nelson. Une date qui aurait marqué la naissance du mouvement environnemental moderne tel qu’on le connaît, favorisé par le mouvement hippie qui prônait le retour à l’essentiel. Ce « Jour de la Terre » est fêté par la société civile.

Des décisions tardives

Mais en France aussi certaines choses bougent dans ce sens. En 1971, un ministère de l’écologie est créé bien que son budget de départ soit mince. Un an plus tard, l’ONU réunit ses membres à Stockholm pour la première conférence des Nations Unies sur l’environnement. La croissance zéro y est même évoquée dans les idées pour réduire notre impact.

Avec notre croissance économique est d’ailleurs arrivé le plastique. Or en 1973, on alertait déjà sur les dangers du plastique selon les images de l’INA : « Plastiques, les dangers des déchets pour l’an 2000 ». Les seventies voient même arriver l’éco design, pour lequel ce terme n’existait pas encore.

Les années 80 n’ont pas vu l’arrivée de l’écologie politique mais l’apparition de l’écologie dite de marché. Les entreprises avaient d’ailleurs compris qu’avoir l’approbation des associations écologistes seraient une bonne chose pour elles.

Mais les années 80 ont aussi marqué des premières fois. Par exemple, la première fois où WWF a évoqué la notion de développement durable. Un terme jusqu’ici inutilisé. En 1985, le trou de la couche d’ozone en Antarctique est découvert et un an plus tard a lieu la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. Un scandale écologique.

En juin 1992 a lieu le Sommet de la Terre de l’ONU à Rio sur l’environnement et le développement. Celui-ci réunit 120 chefs d’état. Trois ans après les pays se réunissent à Kyoto. Ce qui en ressort est le protocole de Kyoto qui fixe une quantité maximum de gaz à effet de serre à ne pas dépasser.

Le changement climatique est au cœur des inquiétudes environnementales. Nous n’avons pas réagi assez vite.

Les challenges du 21ème siècle

Le 21ème siècle marque un tournant. Et les challenges écologiques sont devenus nombreux. Car au final, peu de choses se sont améliorées, l’innovation n’ayant pas attendu que le feu passe au vert pour poursuivre sa virée technologique. La surconsommation de pétrole; les ressources qui s’amenuisent; les atteintes à la biodiversité; le réchauffement climatique; la déforestation; les cultures intensives… Autant de choses qui nous nuisent encore. Se déroulent toujours des chartes, des conventions, et des sommets. Mais les résultats sont maigres. Par exemple la COP 25 a beaucoup fait parler d’elle, malheureusement en mal !

Et au-delà de nécessaire, l’écologie est devenue tendance. L’écologie est donc devenue un marché, un marché adapté au consommateur moderne. Tout cela résultant plus ou moins de l’écologie de marché. Et certains en profitent et surfent sur la vague. L’essentiel reste que les initiatives et marques éthiques et écologiques se développent, ainsi que la sensibilisation des associations comme fait par Greenpeace.

La transition écologique

État des lieux

Nous voilà maintenant informés, ça fait plus de 60 ans que l’écologie existe et avec elle les tentatives de prise de conscience collective. Malheureusement peu d’entre elles ont atteints leurs objectifs. En même temps difficile de pousser à la modération en période de fête ! On a endormi nous valeurs à grand coup de marketing et de black Friday. Car oui !  Il est plus facile de consommer beaucoup que de consommer bien. Qui est fautif dans cette histoire ? Les géants économiques : Amazon; Apple; Wish; AliExpress ? Nos gouvernements ? Ou nous-même ?

Comme souvent la bonne réponse est dans la mesure, alors je dirai un peu des trois !

Partant de ce constat, comment faire en tant qu’individu pour faire changer les choses ? Comment agir à son niveau sans se retrouver découragé en allumant la tv et en voyant une foule de personnes se battre pour le dernier objet connecté à la mode ?

Oui, se lancer dans sa propre transition écologique est difficile, mais c’est le meilleur moyen d’agir à notre niveau, et chacun à son rythme !

Dans la nature les plus grands écosystèmes sont équilibrés grâce au travail de la somme de toutes les petites actions de toutes les espèces. Chacun sa place, chacun son rôle dans un mécanisme bien huilé et aussi vieux que la vie elle-même !

De la prise de conscience à la prise d’action

 

Un clap cinéma sur une table pour symboliser le passage à l'action et la transition écologique

Greenkit – Passage à l’Action

 

Bon ! Le constat est fait, c’est à nous en tant qu’individu de faire pencher la balance, individuellement mais tous ensemble. On dit souvent : « Consommer c’est voter » car nos choix du quotidien ont un impact direct sur notre vie mais pas uniquement ! Lorsqu’on choisit une tomate BIO française, l’impact sur notre santé et sur le gout est immédiat, c’est dans notre assiette ! La conséquence que l’on voit moins c’est celle sur les producteurs et le coup dur que reçoivent les exportateurs de fruits & légumes. Car c’est vrai, le BIO s’est aujourd’hui imposé dans tous les supermarchés, et c’est ce qui a marqué son incroyable croissance.

Le BIO représentait 9,7 Milliard d’euro en 2018 car les consommateurs s’en sont emparés. Et c’est ce qui est intéressant dans ce modèle et que nous devrions envisager de démocratiser pour la consommation durable dans son intégralité.

Car si chacun à son propre rythme la transition écologique a pour tous le même objectif : « Consommer moins mais mieux ».

Comment faire alors pour motiver cette transition, tant auprès des consommateurs que des producteurs et autres industries ? Tant que nous ne ferons pas rimer écologie et économie nos chances de réussite comptent sur la prise de conscience morale des individus, autant dire que les chances sont maigres. Mais si un modèle économique et écologique prouve que l’écoresponsabilité peut être rentable, alors la main change !

Revoir la valeur de nos achats

Un artisan potier est en train de façonner un bol, transition écologique

Greenkit – Revoir nos valeurs

 

Une autre méthode qui permettrait de donner de la valeur économique à l’écologie est de reprendre notre conception de la valeur. Autrement dit faire en sorte que les consommateurs favorisent la provenance d’un produit à son packaging, la juste rémunération des acteurs au prix final… Dans ce cas-là on pourrait imaginer qu’un téléphone éco-responsable aurait plus de valeur aux yeux des consommateurs que le dernier iPhone.

Les cartes sont dans nos mains, à nous de les jouer !

Une transition en douceur

Le maitre mot de la transition écologique est le rythme ! Pour que chacun s’y retrouve, les changements d’habitudes ne doivent pas avoir d’impact sur le confort de vie. Personne n’a les mêmes envies ni les mêmes besoins, alors la transition doit s’adapter aux individus.

Ce qui freine la prise d’action écologique depuis des années et la vision contraignante qu’elle porte. On a peur de perdre en confort de vie, de payer plus cher nos produits et de devoir passer des heures à les trouver et les comparer. Pourtant les ressources existent, des milliers d’entreprises engagées se créent un peu partout et des initiatives positives fleurissent sur le territoire.

Malheureusement il est souvent difficile de les trouver, et pas évident de les contacter !

La transition écologique de GreenKit

Afin d’accompagner la transition écologique des consommateurs et celle des professionnels, nous avons choisis chez GreenKit de créer un Annuaire écologique. L’objectif est de donner de la visibilité aux entreprises qui s’engagent et proposer leurs produits et services aux consommateurs en transition. Nous souhaitons créer un réseau de professionnels et de consommateurs qui partagent l’objectif commun de démocratiser la consommation responsable !

Vous le sentez venir, l’étape après notre annuaire est de créer une plateforme permettant à nos partenaires de vendre leurs produits en Ligne. Nous créons ainsi une place de marché éco-responsable qui a pour objectif d’accompagner et de simplifier la transition écologique des consommateurs. Trouver de bons produits, au bon prix et au même endroit !

Comme nous l’avons dit plus haut, il est utopique de penser que la prise d’action écologique se fera sur la prise de conscience morale des individus. Sans aide ou sans contrepartie, il est difficile de plaire et toucher tout le monde. Il y a pourtant une chose qui motive la plupart des personnes : l’Argent !

Le Green

GreenKit : Le Green

Pour aider, motiver et récompenser les actions positives des consommateurs, nous avons choisis de créer un système de Cash Back écologique. Autrement dit, chaque achat réalisé au sein de notre réseau ou sur notre site de vente, rapporte des points (Green) à l’acheteur. Il peut ensuite les utiliser sur la même plateforme pour obtenir des réductions sur ses prochains achats. Acheter de manière responsable devient donc plus abordable ! De cette manière, on fait tourner une économie locale et écologique, on donne leur chance à de nouvelles entreprises engagées sans pour autant se ruiner !

Les cartes d’engagement

GreenKit – Nos cartes d’engagement

Professionnels, on ne vous a pas oublié ! Pour permettre à nos partenaires de capitaliser sur leurs engagements et à nos utilisateurs de comparer les vendeurs et les produits, nous avons créé un système de Cartes d’engagement.

Le principe est simple, nos partenaires partagent leurs engagements à travers 7 catégories : Produit; Emballage; Transport; Informatique; Bâtiment; Personnel et Autre. Ces derniers sont rendus accessibles librement sur notre site sous forme de cartes de jeu. De quoi permettre nous permettre de comparer deux vendeurs et avoir toutes les cartes en main pour acheter ce qui vous plait !

Pour aller un peu plus loin, chaque partenaire obtient une note en fonction de ses engagements et gagne en visibilité à hauteur de sa note !

Notre transition écologique

L’avenir de notre planète est entre nos mains, nos choix de consommation et de vie influeront sur notre avenir commun. La standardisation des biens de consommation a créé un modèle de consommateur unique. Nous devons nous défaire de ces principes pour prendre pleinement le virage de la transition écologique qui doit avant tout être personnelle ! Nous avons tous un rôle, des besoins et des envies et notre consommation doit nous ressembler. Petit à petit on peut changer les choses. Individuellement mais tous ensemble !

Votre déclic écologique

« Ma mère m’a toujours sensibilisée à l’écologie. Mais l’actualité et différents posts sur les réseaux sociaux ont renforcé mes convictions. J’ai compris que chaque petit geste était important. Les miens sont trier mes déchets, acheter des aliments bios, passer à la cup menstruelle, utiliser des savons solides, boire dans une gourde, acheter des vêtements durables fabriqués dans le respect de l’éthique, et même acheter de la litière biodégradable. Lorsqu’il a fallu choisir une entreprise où être en alternance, j’ai privilégié une qui soutient l’écologie en utilisant par exemple des énergies renouvelables. »

Mathilde, 19 ans, étudiante

« Je n’ai pas souvenir d’avoir eu un déclic. J’ai toujours été soucieuse de l’environnement, ce qui doit être entre autres lié à mon éducation. Mon éveil à ce sujet a été assez inné, c’est même devenu un mode de vie. C’est pourquoi c’est un plaisir de travailler dans un institut de beauté qui n’utilise que des produits naturels ou vegans, et aux emballages rechargeables ou biodégradables. Travailler dans un lieu en accord avec les valeurs que je porte est très agréable. De plus, nous pouvons d’une certaine manière sensibiliser notre clientèle au quotidien grâce à nos soins responsables. »

Julie, 25 ans, esthéticienne

« J’ai la même vision de l’environnement que ma femme, mais c’est elle qui m’a appris à faire plus attention aux compositions des produits et m’en a fait découvrir de nouveaux. Avant, je ne me méfiais pas du greenwashing*, je ne savais pas que ce procédé marketing existait. C’est suite à ces découvertes que j’ai eu le déclic. Nous sommes tous les deux thérapeutes et commerçants, ce qui peut en fait être assez similaire en terme d’échange avec les clients. Nous testons tous les produits éco-responsables que nous vendons et vérifions s’ils sont vraiment sains en tous points avant de les mettre en magasin. »

*greenwashing : technique marketing qui consiste à surfer sur l’argument écologique pour se mettre en valeur, sans forcément être en accord avec cette idéologie dans la pratique.

 Romain, 34 ans, thérapeute et commerçant

« Déjà petite j’étais sensible à la cause animale et environnementale. J’ai aussi été marquée par les différentes catastrophes écologiques ayant été médiatisées au cours des dernières décennies. Donc j’ai toujours fait un minimum attention à ce que je consommais. Mais c’est le fait d’avoir des enfants qui a vraiment accru cette sensibilité. Bien sûr, je les éduque sur le sujet et j’essaye de leur trouver le meilleur en termes d’alimentation, vêtements et jouets. La difficulté à trouver des produits éco-responsables pour enfants m’a d’ailleurs poussée à ouvrir mon propre magasin. »

Lou, 42 ans, commerçante

« En grandissant, quand j’ai eu la chance de voyager, j’ai pu voir des paysages magnifiques. J’ai alors réalisé ce que nous, les humains, étions en train de détruire. L’équilibre de la nature, qui est incroyable, est mis en péril par notre faute. Ce constat m’a rendue triste et j’ai commencé à regarder beaucoup de reportages, avec ce sentiment d’être privilégiée et même de culpabilité. Je faisais déjà des petits gestes avant car mes parents aussi sont sensibles à la nature. Mais à partir de là je me suis vraiment sentie concernée, j’ai voulu agir. »

 Manon, 20 ans, étudiante

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