Agir en entreprise

5 astuces pour réduire son impact numérique au bureau

Réduire impact numérique au bureau

Le stockage de données, envoyer un mail, télécharger un document, faire une simple recherche sur internet, la moindre action numérique a aujourd’hui un impact sur l’environnement. Pour vous aider à réduire votre impact numérique au bureau, GreenKit vous liste 5 idées et astuces à reproduire au plus vite dans votre entreprise.

Utilisez des raccourcis !

Comme dans la vraie vie, c’est toujours plus pratique et agréable d’emprunter des chemins plus courts. Ainsi, en utilisant un raccourci, vous utilisez au minimum 4 fois moins d’énergie qu’en réalisant une recherche sur un moteur de recherche lambda. Sans compter que cette pratique fait gagner un temps précieux dans votre travail !

Utiliser des raccourcis pour réduire impact numérique

Pensez écolo jusque dans vos polices !

Eco-fonts pour réduire impact web

Oui oui, il existe des polices d’écriture qui vous permettent d’utiliser le moins d’encre possible au moment de l’impression. Une écriture la moins grasse possible fait évidemment l’affaire. Ou même la police EcoFont. En effet, les lettres sont remplies de trous blancs et permettent de limiter l’utilisant de l’encre de vos cartouches.

Baissez la luminosité de vos appareils

Plus un écran est lumineux, plus sa consommation sera importante. Ça vaut pour vos téléphones qui se déchargent plus vite si leur luminosité est élevée. Mais ça vaut aussi pour vos écrans d’ordinateurs au bureau. Ainsi, baisser ne serait-ce qu’un peu la luminosité peut économiser un peu d’énergie. Sans compter que vous abîmerez bien moins vos yeux !

Bien choisir son cloud

Choisir son cloud pour réduire impact numérique

Tous les clouds ne se valent pas. Certes, pour les entreprises qui en font le choix, la disponibilité, les interconnexions et la sécurité de leurs serveurs à distance est cruciale. Mais la localisation, le système de refroidissement, la consommation d’eau et les contrats d’achat d’énergies renouvelables peuvent aussi être des critères de choix pour privilégier les offres de cloud les plus vertes.

Supprimez vos e-mails inutiles

On ne vous apprend rien sur ce point. Mais c’est certainement l’une des astuces qui fait le plus de différence à ce niveau. Comme dit dans l’introduction, c’est le stockage de données qui est la plus grosse cause de la pollution numérique. Pour vous donner une idée, en supprimant 30 e-mails, vous économiserez la même quantité d’énergie que celle d’une ampoule allumée pendant une journée entière. En plus de cela, si vous en avez le courage, cherchez dans le fond des spams que vous recevez sans jamais les lire un petit bouton « se désabonner ». En fin de compte, vous arrêterez de les recevoir, on arrête de vous les envoyer, un cercle vertueux bon pour la planète.

Bonus, quand il n’y en a plus, il y en a encore…

Effectuer des recherches sur le net, ça coûte cher en énergie. Alors autant que ça serve à quelque chose. D’une part, Ecosia qui propose, par exemple, de reverser 80 % de ses bénéfices à des programmes de plantation d’arbres. D’autre part, Lilo qui vous permet de cumuler de l’argent pour financer des projets qui font du bien à la planète, comme des programmes luttant contre la déforestation en Amazonie par exemple. En dehors de tout cela, ça ne vous coûte rien d’ajouter dans la signature de vos mails « N’imprimez ce mail que si c’est vraiment nécessaire ». De quoi rappeler à vos collaborateurs que l’impression, c’est comme les antibiotiques, ce n’est pas automatique…